1. Connaissez votre public : Comprenez qui est votre public cible, quelles sont les plateformes qu’il utilise et quel type de contenu il utilise.

2. Une image de marque cohérente : Maintenez une voix, un ton et un style de marque cohérents sur tous vos comptes de médias sociaux afin de créer une image de marque cohésive.

3. Contenu de qualité : Partagez un contenu de haute qualité, pertinent et engageant qui apporte une valeur ajoutée à la vie de votre public.

4. Les visuels sont importants : Utilisez des images, des vidéos et des graphiques de haute qualité pour attirer l’attention des utilisateurs et accroître l’engagement.

5. Engagez-vous auprès de votre public : Répondez aux commentaires, aux messages et aux mentions en temps voulu pour montrer que vous accordez de l’importance aux réactions de votre public et pour créer un sentiment de communauté.

6. Utilisez les hashtags à bon escient : Incorporez des hashtags pertinents et en vogue dans vos messages afin de les rendre plus faciles à découvrir et d’atteindre un public plus large.

7. Publiez régulièrement : Restez actif sur vos comptes de médias sociaux en publiant régulièrement afin de maintenir l’intérêt de votre public.

8. Analysez et ajustez : Surveillez régulièrement les paramètres de vos médias sociaux pour savoir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, et adaptez votre stratégie en conséquence.

9. Collaborez avec des influenceurs : Associez-vous à des influenceurs ou à des experts du secteur pour toucher un public plus large et renforcer la crédibilité de votre marque.

10. Restez informé : Tenez-vous au courant des dernières tendances, fonctionnalités et algorithmes des plateformes de médias sociaux pour vous assurer que vos stratégies sont efficaces et à jour.

N’oubliez pas que chaque marque est unique, il est donc essentiel d’expérimenter différentes stratégies et de trouver ce qui fonctionne le mieux pour votre public et vos objectifs spécifiques.

The post MEILLEURES PRATIQUES EN MATIÈRE DE MÉDIAS SOCIAUX 2024 appeared first on Admeup Digital Academy.

Dans le paysage numérique qui évolue rapidement, le contenu vidéo est devenu un outil puissant pour attirer le public et générer des revenus. Alors que de plus en plus de créateurs de contenu et d’entreprises adoptent la vidéo comme élément central de leur stratégie en ligne, la nécessité de monétiser efficacement ces vidéos est devenue de plus en plus importante. Dans ce guide, nous allons explorer les stratégies clés et les meilleures pratiques pour monétiser avec succès le contenu vidéo en ligne, tout en assurant une visibilité optimale sur les moteurs de recherche grâce au référencement.

1. Comprendre les modèles de monétisation vidéo
Avant de se plonger dans les stratégies de monétisation des vidéos, il est essentiel de comprendre les différents modèles disponibles. Les méthodes les plus courantes de monétisation du contenu vidéo sont les suivantes :
– La publicité : Diffusion de publicités avant, pendant ou après les vidéos pour générer des revenus.
– Abonnement : Offrir un contenu exclusif derrière un mur payant moyennant des frais récurrents.
– Paiement à la séance : Faire payer aux téléspectateurs un droit d’accès unique à un contenu vidéo spécifique.
– Parrainage : Partenariat avec des marques pour promouvoir leurs produits ou services dans vos vidéos.
– Marketing d’affiliation : Inclure des liens d’affiliation dans les descriptions de vos vidéos afin de percevoir une commission sur les ventes.

Chaque modèle de monétisation présente ses propres avantages et considérations. Il est donc essentiel de choisir l’approche qui correspond le mieux à votre contenu et à votre public.

2. Optimiser le contenu vidéo pour le référencement
Pour que vos vidéos atteignent un public plus large et attirent davantage de spectateurs, il est essentiel de les optimiser pour les moteurs de recherche. Voici quelques conseils clés en matière de référencement pour le contenu vidéo :
– Recherche de mots-clés : Identifiez les mots-clés et expressions pertinents que votre public cible est susceptible de rechercher. Incluez ces mots-clés dans le titre, la description et les balises de votre vidéo.
– Optimisation des métadonnées : Rédigez des titres et des descriptions convaincants qui non seulement contiennent des mots clés, mais incitent également les spectateurs à regarder la vidéo. Utilisez des balises pertinentes pour fournir un contexte supplémentaire aux moteurs de recherche.
– Vignettes de qualité : Créez des vignettes visuellement attrayantes qui représentent fidèlement le contenu de votre vidéo. Des vignettes claires et attrayantes peuvent améliorer le taux de clics.
– Transcriptions et sous-titres codés : Fournir des transcriptions et des sous-titres codés permet non seulement de rendre vos vidéos plus accessibles, mais aussi d’aider les moteurs de recherche à indexer votre contenu de manière plus efficace.
– Optimisation mobile : Avec l’augmentation de la consommation de vidéos sur mobile, assurez-vous que vos vidéos sont optimisées pour être visionnées sur des appareils mobiles afin d’améliorer l’expérience de l’utilisateur.

En intégrant ces meilleures pratiques de référencement, vous pouvez améliorer la visibilité de votre contenu vidéo dans les résultats des moteurs de recherche et attirer davantage de trafic organique vers vos vidéos.

3. Exploiter les plateformes pour la monétisation
Lorsqu’il s’agit de monétiser du contenu vidéo, plusieurs plateformes offrent des options de monétisation aux créateurs de contenu. Parmi les plateformes les plus populaires, citons
– YouTube : La plus grande plateforme vidéo offre diverses fonctions de monétisation telles que des publicités, des adhésions à des chaînes et des étagères de marchandises.
– Vimeo : Connu pour son hébergement de vidéos de haute qualité, Vimeo offre aux créateurs la possibilité de vendre ou de louer leurs vidéos aux spectateurs.
– Facebook : Facebook Watch permet aux créateurs de monétiser leurs vidéos par le biais de publicités, d’abonnements de fans et de collaborations avec des marques.
– Twitch : Principalement axé sur la diffusion en direct, Twitch offre aux créateurs la possibilité de gagner de l’argent par le biais d’abonnements, de publicités et de dons de la part des spectateurs.

En tirant parti de ces plateformes, les créateurs de contenu peuvent exploiter les audiences existantes et les fonctions de monétisation pour générer des revenus à partir de leur contenu vidéo.

4. Diversifier les sources de revenus
Bien que la publicité reste une méthode populaire de monétisation du contenu vidéo, il est important de diversifier les sources de revenus afin de ne pas dépendre d’une seule source. Envisagez d’explorer d’autres sources de revenus, telles que
– La vente de marchandises : Créez et vendez à votre public des produits de marque en rapport avec votre contenu vidéo.
– Le financement participatif (crowdfunding) : Faites appel à votre public par l’intermédiaire de plateformes telles que Patreon ou Kickstarter pour obtenir un soutien financier direct.
– Octroi de licences : Étudiez les possibilités d’accorder des licences pour votre contenu vidéo à d’autres plateformes ou à d’autres médias afin d’obtenir des revenus supplémentaires.

La diversification des sources de revenus permet non seulement d’assurer la stabilité financière, mais aussi d’ouvrir de nouvelles perspectives de croissance et d’expansion.

5.S’engager auprès de son public
La création d’un public fidèle et engagé est cruciale pour une monétisation durable des vidéos. Voici quelques conseils pour vous engager auprès de votre public :
– Répondre aux commentaires : Interagissez avec les spectateurs en répondant aux commentaires et aux réactions sur vos vidéos afin de créer un sentiment d’appartenance à la communauté.
– Créez un contenu cohérent : Établissez un calendrier de contenu et respectez-le pour maintenir l’engagement et la fidélité des spectateurs.
– Organisez des sondages et des enquêtes : Demandez l’avis de votre public sur le type de contenu qu’il apprécie et qu’il souhaite voir plus souvent.

En établissant un lien solide avec votre public, vous pouvez augmenter la fidélisation des spectateurs et multiplier les possibilités de monétisation.

Conclusion
En conclusion, la monétisation des vidéos en ligne offre aux créateurs de contenu et aux entreprises de nombreuses possibilités de générer des revenus à partir de leur contenu vidéo. En comprenant les différents modèles de monétisation, en optimisant le référencement, en exploitant les plateformes, en diversifiant les sources de revenus et en vous engageant auprès de votre public, vous pouvez libérer tout le potentiel de la monétisation vidéo. Adoptez ces stratégies et ces meilleures pratiques pour donner une nouvelle dimension à votre contenu vidéo et maximiser votre potentiel de revenus en ligne.

The post MONÉTISER VOS VIDÉOS EN LIGNE appeared first on Admeup Digital Academy.

Cette décision est symptomatique d’une réalité : il y aura eu beaucoup de gadgets inutiles sur le chemin de la transformation digitale et les nouveaux usages réellement adoptés par les clients dans le cadre de la digitalisation des entreprises sont in fine très peu nombreux dans la grande consommation. Pourtant ces dernières années, des budgets d’investissement considérables ont été dépensés à la quête de l’outil qui pourrait faire la différence. Et à mots couverts, certains confrères reconnaissent qu’une partie de ces investissements l’ont été en pure perte.

Alors on me rétorquera immédiatement que rien n’est jamais perdu, que tester c’est apprendre… Bien sûr, mais encore faut-il avoir les moyens d’une politique massive de tests dont il ne reste que peu d’adoptions définitives.

Avant l’exemple précédent, il y a quelques années, beaucoup ont parié sur les écrans connectés dans les rayons des magasins : pour obtenir un conseil au rayon vin, pour approfondir un assortiment en non-alimentaire, pour commander sur le drive en magasin même. Ces écrans n’ont pas non plus trouvé d’usage pérenne, par manque de présence humaine sans doute.

Ce qui se passe dans le commerce alimentaire en Chine est intéressant à observer. L’expérience y est toujours plus phygitale : le smartphone est omniprésent et les commandes sont passées parfois pour un seul produit alimentaire livré en proximité, la technologie pour la préparation des commandes en magasin se mêle aux rayons, l’encaissement évolue très vite. Il faut simplement prendre en compte un contexte qui ne sera jamais le même en France : l’absence d’encadrement dans la gestion des données personnelles, une main d’œuvre abondante et bon marché, un tissu urbain aux dimensions, et donc au potentiel, inégalé.

Autre exemple souvent cité du côté de l’encaissement : ce qu’a réussi à faire Décathlon en rendant instantané le passage en caisse grâce aux puces RFID contenues dans les articles. L’expérience est particulièrement séduisante. Elle n’est pourtant pas à portée de l’alimentaire à date du fait du coût des étiquettes sur des produits de faible valeur. Et surtout, cela n’a pas empêché Décathlon de connaître quelques aléas en France en 2018 liée à des évolutions d’assortiment et de merchandising entre autres.

Alors la voix sera-t-elle demain la façon de se simplifier l’expérience-client ? Rien n’est moins sûr. Le client arbitrera toujours dans le sens d’une expérience fluide et rapide pour la réalisation de son panier de course, qu’il soit physique ou digital, et pour l’heure la voix n’optimise pas cela.

Tout cela nous renvoie avec force à la réalité des attentes des clients dans la grande distribution alimentaire : qu’elle soit physique ou digitale, une expérience d’achat complète et sans rupture, rapide, simple, au meilleur prix et maintenant avec un niveau de qualité et de transparence jamais atteint. Dès que l’on sort de ses prérequis de base très peu d’usages ont percé.

Quelle en est la liste ?

Le drive sous toutes ses formes et déclinaisons : drive isolé, drive en “pick and collect” dans un magasin existant, avec retrait du client ou livraison à domicile, en véhicule ou à pied, ou dans un point de retrait, qui peut être un drive piéton. C’est la réponse la plus forte, inventée par la distribution française, aux attentes des clients pour une expérience d’achat simplifiée, qui fait gagner du temps.
Dans le domaine de la livraison du drive, quand il n’est pas opéré par l’enseigne, est parfois traité par une start-up de livraison collaborative, particulièrement dans l’urbain. A date, personne n’a résolu la question de la livraison en zone rurale et son coût élevé.
Le traitement de la photo a totalement été transformé et les produits peuvent s’obtenir à distance en ligne ou en rendant aux bornes-photos à disposition dans les magasins physiques.

Pendant le parcours client, il est désormais courant de voir un client consulter son smartphone pour obtenir de l’information complémentaire, notamment grâce aux applis détaillant la composition des produits comme “Y a quoi dedans” développé par U.

En magasin, les usages qui ont vraiment percé tournent autour de l’encaissement : caisses en self check-out, self scanning et maintenant les premières expériences sans encaissement dans de toutes petites surfaces et pour de petits assortiments. Mais en France les premières expériences montrent une grande perturbation à ne pas avoir de point de contrôle en sortie de magasin tant les habitudes sont ancrées. Ceci dit c’est bien dans ce domaine que les lignes sont amenées le plus à bouger.

En fin de parcours toujours, le téléphone se mêle à l’encaissement pour permettre le paiement et la dématérialisation des tickets de carte bancaire ou du ticket de caisse. Il permet également de suivre la situation de son compte de fidélité. Faisant gagner quelques secondes précieuses par passage au magasin.

En dehors des usages directs dans le parcours client, mais cela vient le compléter ou permet de le préparer, les relations avec les clients via les réseaux sociaux se sont développées. Que ce soit les relations avec l’enseigne ou avec le magasin de proximité directement. Souvent, ce sont les grands réseaux sociaux existants qui ont été utilisés.

Je ne cite ici que les usages liés directement au parcours du client, mais on pourrait encore lister toutes les technologies qui améliorent les coulisses du fonctionnement d’un supermarché, comme les robots pour remplir des fiches articles ou l’intelligence artificielle pour améliorer les commandes. Ce champ est vaste et pourra faire l’objet d’un prochain approfondissement.

A une époque où le client a repris le pouvoir face aux grandes marques et aux enseignes, personne ne lui imposera rien. Il est d’un côté parfaitement informé et de l’autre, pour les courses de tous les jours, il cherche l’efficacité et la simplicité. Sur ce chemin, il n’hésite pas à privilégier le physique au digital, parce qu’il peut mieux faire ses choix ou parce qu’il y prend du plaisir au contact des produits et des collaborateurs. Seuls les usages qui répondront parfaitement à ces attentes sont à travailler et à tester. En conservant à tout moment une immense dose de bon sens face à l’ampleur des choix disponibles, mais souvent déconnectés du terrain.

The post <a href="https://www.linkedin.com/pulse/num%C3%A9rique-et-grande-distribution-les-clients-d%C3%A9cident-schelcher/?trk=eml-email_feed_ecosystem_digest_01-recommended_articles-3-Unknown&midToken=AQHq0brpWc4g6Q&fromEmail=fromEmail&ut=2rcIz17FI2REE1" rel="noopener" target="_blank"> Numérique et grande distribution : les clients décident et pas les technos ! </a> appeared first on Admeup Digital Academy.

However, in order to use social media to grow your business/company and impose your presence effectively, you’ll need to make use of best practices in carrying out marketing using the social media.

1. SET A GOAL/OBJECTIVE

To make your digital presence more beneficial, you should have a goal/objective in mind. Your objective should be SMART and align with your company’s overall goal. Note that with social media marketing, you can accomplish lots of objectives which lead to your overall goal completion.

2.SELECT THE RIGHT NETWORK

Each social media platform has its particularity thus; you should know which one works best for you depending on your goal\objective.

• Facebook; is the largest with over 2billion users and is very good for awareness, leads generation, build relationship and manage community effectively.
• LinkedIn; is a professional platform for B2B and B2C transactions. It’s good in creating trust, building authority and engaging audience. It’s also good in improving your skills by connecting with people in the same sphere as you.
• Twitter; is a micro blogging platform, good for short messaging and immediacy. It is good for businesses with audience less than 50 and is ideal for time-sensitive information.
• Pinterest; is a fantastic social media platform for businesses with visual appeal for it’s a photo sharing platform. It is good for businesses like; photography, art, events, fashion, restaurant, etc.

3. COME UP WITH A STRATEGY

Haven defined your goal/objective you’ll need a strategy [plan] to work and guide you through out the journey. You could start with a team which you will define their roles and responsibilities accurately, for teamwork lead to better growth. Fix your posting frequency and create a content calendar. Such things should be well defined in your strategy for it is your way to digital success.

4. CREATE CONTENT WITH YOUR AUDIENCE IN MIND

The reason for your social presence is for your audience [customers, clients, prospects] Therefore, every content you create should be high quality and relevant to your audience. Thus your content should be based on their needs and interests. Also to have engaging content; prioritize images, videos, and other visual content cause these are popular among all audiences.

5. CHOOSE TOOLS TO AUTOMATE POSTS

Staying active in social media requires time and dedication. Thanks to marketing automation, your marketing action can be scheduled to run months ahead. Some tools that permit you automate in social media marketing include; Hootsuite, Buffer, Sprout Social, BuzzSumo. These save you time and permit you monitor your network engagement.

6. ACTIVELY ENGAGE WITH YOUR AUDIENCE

Content is the ultimate in social media marketing, but it’s not enough to post and go. Social media is about connection and building relationship, the only way to do this, is to engage with your audience. You can actively engage with your audience via comments, sharing, participating in conversations, sharing user generated content, asking and answering questions, etc.

7. MINIMIZE YOUR SELLING TIME

Even though social selling is a practice in social media, it is recommended to keep selling at 20%, while the remaining 80% is dedicated to sharing content to meet the needs of your audience. The main use of social media is to drive growth through communication and engagement not selling.

8. MAINTAIN A CONSTANT PRESENCE

Social media is not a one and done deal. It requires time and patience to cultivate the appealing presence. Thus you’ll need to be frequently online to respond to comments, questions and interact with your community.

In regards to posting frequency, it depends on the platform for instance: 11pins a day is magic for Pinterest, 1post a day or 5posts a week is ideal for Facebook and LinkedIn while a post as often as the topic changes is good for Twitter.

9. HAVE A CONSISTENT VOICE WITH YOUR AUDIENCE

That is, every post you make should be in line with your brand and image for it is very crucial and ideal for brand building and recognition. Therefore, in order to have a consistent voice with your community, limit the number of persons who post in your social media platforms. This is to ensure a unique and consistent content posting; for many persons can post content out of your brand.

10. MONITOR YOUR PRESENCE THROUGH THE RIGHT METRICS

Social media evolves at all times and its users increase every hour. Thus it is better to define your goals, know your audience and pick the right sites based on your goal. Your goal maybe to; creates awareness, engagement, and conversion, drive traffic or makes sales.

Thus, depending on your objective, choose the right platform which will permit you measure your performance accurately.

The post BEST PRACTICES OF SOCIAL MEDIA MARKETING appeared first on Admeup Digital Academy.

Sur le principe, le rapport se base sur quatre critères : nombre d’acheteurs en ligne, niveau de sécurité des serveurs, facilité de paiement et facilité de livraison. Sur ces critères, le Cameroun obtient une moyenne supérieure à celle africaine. Une performance que le pays doit principalement à son fort taux de pénétration du mobile (passé de 68% en 2013 à 72% en 2016 selon Médiamétrie), mais surtout, à la progression du taux de couverture Internet qui est passé au cours des 10 dernières années de 2 à plus de 20%. En termes d’impact, c’est environ 23% de camerounais qui utilisent Internet.

Voici le Top 10 du e-commerce en Afrique

Maurice
Nigeria
Afrique du Sud
Tunisie
Maroc
Ghana
Kenya
Ouganda
Botswana
Cameroun
Ecrit par Jephté TCHEMEDIE

[Digital Business Africa] – C’est une belle performance qui devrait certainement réjouir les autorités camerounaises. Selon le rapport 2018 sur l’indice du e-commerce en Afrique publié par la Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement (Cnuced), le Cameroun fait désormais partie du top 10 des pays africains leader du commerce en ligne. En occupant la 10e position africaine, le pays devance de fait tous les autres pays de l’Afrique centrale, absent de ce top 10.

Sur le principe, le rapport se base sur quatre critères : nombre d’acheteurs en ligne, niveau de sécurité des serveurs, facilité de paiement et facilité de livraison. Sur ces critères, le Cameroun obtient une moyenne supérieure à celle africaine. Une performance que le pays doit principalement à son fort taux de pénétration du mobile (passé de 68% en 2013 à 72% en 2016 selon Médiamétrie), mais surtout, à la progression du taux de couverture Internet qui est passé au cours des 10 dernières années de 2 à plus de 20%. En termes d’impact, c’est environ 23% de camerounais qui utilisent Internet.

The post <a href="https://www.digitalbusiness.africa/e-commerce-le-cameroun-fait-son-entree-dans-le-top-10-cnuced/" rel="noopener" target="_blank"> E-commerce : Le Cameroun fait son entrée dans le top 10 (Cnuced) </a> appeared first on Admeup Digital Academy.

He was only 16 years old. Now 21, the Los Angeles-based young man is the unconventional tech guru who has accomplished many incredible feats, including being responsible for algorithms that have made Uber, Instagram and Snapchat what they are today.

The software engineer considers himself a “cultural architect” and said he aims to “level the playing field” between Silicon Valley and young communities of colour.

Born and raised in Harbor City, California with parents from Ghana, Sandu would never forget a harrowing experience he had when he was eight – his father had wanted to take him on a trip to Ghana.

“But on the fourth day of the trip, he abandoned me in this village, took my passport and came back to the States,” Sandu told Oxford University’s Music and Style Magazine, adding that he was abandoned for almost nine months before getting into contact with an NGO which helped him travel back home.

He got back to the U.S. when the first-ever iPhone was unveiled, and this started his journey into the tech world.

“I just got super inspired. I thought – this device is going to change the world. The reason why the iPhone was so important was because it was the first time when regular consumers could develop for other regular consumers. Before, you really had to work at a tech company for multiple years to be able to offer any sort of input or to create an app. But Apple made it so mainstream. I knew it was the future,” he said.

Just 10 years old then, Sandu started learning programming on his own for the next two years at a public library and this was where he got spotted by a designer from Google, who offered him an internship opportunity at the company’s headquarters.

At age 13, he got his first experience with programming and worked on many projects such as the initial Google blogger, Google Plus, among others.

Yet, Sandu was determined to affect change, hence, at the age of 15, he designed an app for his high school that gave students turn by turn directions to navigate their classrooms.

Being the only school in California that had an app made by a student, Sandu received wide acclaim that would later afford him a meeting with former President Obama.

During that same period, Sandu wrote an algorithm that he would go on to sell to Instagram and by the age of 18, he was already consulting for Snapchat before landing at Uber, where he created a software (Autonomous Collision Detection Interface) for its self-driving cars.

With the passion to bridge the gap between the informed and uninformed, and to inculcate into young people like him the need for invention and creativity, he left major tech companies to bring that change.

“Information is one of the highest forms of class. And that is what keeps people divided. You should be able to think on a higher level, instead of being strictly consumers. And people of colour in particular are more likely to be consumers than creators. It’s really hard to get out of poverty or to change the structure of economic power if you’re always going to be a consumer rather than creating. Shifting that narrative is what I’ve been trying to do. And thus far, it’s worked, it’s successful.”

From encouraging the study of STEM subjects in schools and at higher levels, Sandu, in 2017, met rapper Nipsey Hussle at local Starbucks, and in three weeks, they had transformed an abandoned storefront in Los Angeles into the Marathon Clothing Store.

The smart store offers exclusive music and other content to customers who have downloaded an app, said The New York Times.

The store leveraged Iddris’ tech and design background and Nipsey’s cultural influences, sparking the interests of many journalists as well as hip hop and cultural icons like Russell Westbrook, Vegas Jones of Roc Nation, among others.

In an interview with the CNBC, Sandu said the store has helped him bridge the gap between culture and technology, and would love others to do same.

“We are living in the digital revolution,” he said. Although “we are all constantly exposing ourselves to content in real-time.”

“We need to address the largest issues affecting communities and build infrastructure on that,” Sandu said.

The tech wizard has since partnered with Kanye West and Jaden Smith on some future businesses, clothing lines and disaster relief projects that are set to launch in 2019, according to CNBC.

Having created his own music, putting together the sonics and instrumentals in just 3 days to form a full album, the creative technologist is working on a book about recent initiators, including Kanye West; Robi Reed, a casting director; and Edward Enninful, the editor of British Vogue.

With the drive to use all his networks to empower young people in America to make a positive impact in their communities, the unconventional tech genius is already on his way to become a leader for the next generation of influencers and entrepreneurs.

The post <a href="https://face2faceafrica.com/article/at-just-21-iddris-sandu-is-the-tech-genius-behind-uber-instagram-and-snapchat" rel="noopener" target="_blank"> At just 21, Iddris Sandu is the tech genius behind Uber, Instagram and Snapchat </a> appeared first on Admeup Digital Academy.

Dubbed Waymo One, this milestone for the company and nascent self-driving technology industry comes with caveats.

The Waymo One self-driving car service, and accompanying app, won’t be available to just anyone. And for now, the company says it will have Waymo-trained test drivers behind the wheel (even though the company already has driverless vehicles on public roads in Phoenix).

Waymo will first invite Phoenix residents who are part of its early rider program, which was designed to give a vetted group of people the ability to use an app to hail a self-driving vehicle. The early rider program, which launched in April 2017, had more than 400 participants the last time Waymo shared figures on the program.

Waymo will invite some of the early riders to move over to the Waymo One service. The company will continue to operate the early rider program as a way for a select group to give Waymo ongoing insights, according to CEO John Krafcik.

“They’ll help test early features before graduating to Waymo One where new capabilities can be accessed at scale by the public over time,” he wrote in blog post on Medium.

Despite these confinements, Waymo One is progress, and signals the company’s ramp up to a broader service open to the public.

Unlike, the early rider program, Waymo One users will be able to publicly share their impressions on the service. It also cracks the door to the public because Waymo One users will be able to bring along a friend or family member who weren’t part of the early rider program.

The service will be available in a defined area in Phoenix 24 hours a day, 7 days a week beginning in Chandler, Tempe, Mesa and Gilbert, the company said. The service will slowly expand into new neighborhoods and suburbs in the greater Phoenix area.

Riders will see price estimates before they accept the trip based on factors like the time and distance to their destination.

Riders will be able to ask questions through the app or an in-car console that gives them instant access to a Waymo employee.

The post <a href="https://techcrunch.com/2018/12/05/waymo-launches-self-driving-car-service-waymo-one/" rel="noopener" target="_blank"> Waymo Launches Self Driving Car Service Waymo One </a> appeared first on Admeup Digital Academy.

Sachkov, 32, is a co-founder of the Moscow-based company which was set up in 2003 and focuses on investigating high-tech crimes and online fraud. Its clients include banks, energy companies, telecom firms ranging from Russia to Latin America, Canada, the United States and Britain. The company also has offices in London, New York and Dubai.

The move to Singapore comes as Russia and the West are in a stand-off over allegations that Moscow meddled in the U.S. elections. The Kremlin has denied these allegations.

Sachkov, who runs a team of more than 300 people, said timing of the Singapore move was right.

“It is Asia’s financial center – and our business does well in Asia. Singapore is the first country which bought our products … Interpol’s cyber-crime headquarters, with which we are cooperating, is located in Singapore,” Sachkov said.

Sachkov, a cyber security engineer himself, said that for the business to grow, it should be global.

In Asia, Group IB plans to target clients ranging from banks to payment system and crypto currency exchanges to the energy companies and “smart cities”, among others, Sachkov said.

HOW TO WIN TRUST
Group IB’s competitor, Moscow-based Kaspersky Lab, is in the spotlight after the United States last year ordered civilian government agencies to remove Kaspersky software from their networks, on the concerns that Russia exploits its anti-virus software to spy on customers.

Kaspersky, a global leader in anti-virus software, has strongly rejected the accusations.

Asked how Sachkov planned to attract new investors amid Russia-Western tensions, he said that Group IB’s experience with customers from other countries, including law enforcement agencies, should help.

“Everyone knows that never any information was leaked from us and was not used in the politics, we have a level of trust,” Sachkov said. “We did not lose any client in the United States or in the Great Britain, in Europe we are even growing.”

He said that the company, which is an official Interpol and Europol partner in investigating cybercrimes, is also ready to open its source code to any client as a way to build confidence with new and existing partners. According to Group IB, its customers have been able to recover $300 million thanks to the company’s services.

Sachkov said that the company planned to invest around $30 million in the Singapore HQ up to 2022. The office will employ 90 people, including 15 Russians.

The $30 million will come from Group IB’s internal resources and no external financing is planned, Sachkov said. His company does not disclose its financial results.

The post <a href="https://www.reuters.com/article/us-russia-cyber-group-ib/russian-cybersecurity-firm-group-ib-to-open-global-hq-in-singapore-ceo-idUSKCN1NH0IT" rel="noopener" target="_blank"> Russian cybersecurity firm Group IB to open global HQ in Singapore: CEO </a> appeared first on Admeup Digital Academy.

Deuxièmement, côté tablettes tactiles, Apple a complexifié son offre en gardant au catalogue des modèles dépassés. Côté ordinateurs portables, l’arrivée des nouveaux MacBook Air Retina sème le trouble dans l’entrée de gamme. En effet, on se retrouve avec un MacBook Pro sans TouchBar de 2017 qui ne coûte que 150 € de plus qu’un MacBook Air Retina de 2018. L’équation serait résolue de manière simple si le premier était tout simplement « un peu meilleur » que le second. Ce qui n’est pas forcément le cas.

Mais avant de comprendre pourquoi, regardons un instant les caractéristiques techniques des deux appareils.

Cet exposé brut amène un premier constat qui saute aux yeux : oui, on se trouve sur deux appareils quasi similaires. Côté design, le MacBook Air possède plus de coloris et est entièrement fait en aluminium recyclé. Mais comme toujours, le diable se cache dans les détails et Apple ne nous aide pas à trancher aussi facilement.

En sortant la génération 3 des claviers papillon, Apple a mis deux ans de soucis derrière lui. Les nouveaux claviers sont silencieux, agréables à la frappe et équipés d’une membrane qui permet de retenir la poussière. Problème : seuls les MacBook Pro avec TouchBar y ont eu droit.

QUEL MACBOOK A LE MEILLEUR CLAVIER ?

Cela signifie que le MacBook Air Retina a un meilleur clavier que le MacBook Pro sans TouchBar. Si votre travail, comme le nôtre, implique beaucoup de prise de note et d’écriture, vous sentirez nettement la différence entre les deux modèles. La génération 2 n’est pas aussi catastrophique la génération 1 a pu l’être, mais la génération 3 est l’un des meilleurs claviers que nous avons pu toucher — et notre préférence va d’habitude aux claviers mécaniques à grosses touches bien rebondissantes.

Verdict : le MacBook Air est vainqueur.

Retrouvez l’article ici

The post <a href="https://www.numerama.com/tech/436164-macbook-air-retina-vs-macbook-pro-sans-touchbar-quelles-sont-les-differences.html" rel="noopener" target="_blank"> MacBook Air Retina vs MacBook Pro sans TouchBar : quelles sont les différences ? </a> appeared first on Admeup Digital Academy.

This article will lead you down the process of starting a new, small business.This article is centered on showing you how to begin a business in a simple way, allowing time to focus on it wholly and make the business a success with as little capital as possible.

What are you gone do?

You’ll need to embark on the act of starting a business on what is important and making it a success. It is all about creating value to solve a need or add value to people’s life/career.

First you’ll need to come up with a business idea which is profitable and able to solve a need or add value, and then you build a business plan, and finally follow the steps to business creation.

BUSINESS IDEA

A business idea is a concept that can be used for financial gain and is usually centered on a product or service that generate income. When it comes to business as a whole, an idea is the base of the pyramid. For an idea to be termed promising, realizable and successful it should be;

• Innovative: means business idea should be new or improve quality of existing products or services. If the idea is based on innovation, the business will be efficient, cost effective and productive once created.
• Unique: the idea should be unique in that the business should have a unique selling point which will make it standout to competitors.
• Problem solving: the idea should be fundamental in solving problems because such leads to the development of the business, community and the world at large.
• Profitable: this is the most important aspect of any business idea in the long run when the business is created and this element will make the business survive.

Now that we know the qualities of a good business idea and the features that make an idea realizable and long lasting, let’s talk on how to generate a drop-dead business idea.

Business Idea Generation

Here are some steps you can take to generate a drop-dead business idea:-

• Start with family by tapping everyone for great business ideas. It might not seem obvious but it’s important.
• Get help from friends; doing everything alone will severely limit you from new ideas and or improvement on your current idea. So talk with your friends and share ideas. If not of Steve Jobs good friend Steve Wozniak, there would be no Apple Computers today.
• Identify your biggest frustration; this may sound odd but it is a very fertile ground for great business ideas because in trying to solve your own problem, you get to solve for a lot of people around the globe.
• Identify your biggest source of satisfaction for thousands of people have turned up their hobbies into successful profitable businesses.
• Travel and keep your eyes open; when you see something new that piques your interest, ask yourself; ‘’What is it about it that’s so special?’’ Then narrow your focus on it so as to home in an idea on how you can use that in your environment. The processes of narrowing in special thing you see often bring up a niche market.
• Examine current situations and build up a better one; if a product or service does not meet up your high expectations, create a better one to satisfy your desires. By so doing, you will obviously be satisfying the desire of a good number of people.
• Think about your country or the world’s biggest challenge years from now and start working on it.
• Don’t sleep on your dreams; most people ignore their dreams while others don’t even remember what they dreamt. Sometimes, it pays to listen to those inner messages no matter how strange they might be. You never can tell you might just find the germ of one great idea.
• Go digital by checking online what’s new, trending and hot. It might just trigger an idea you never could have imagine.
• Start doing anything or unplug and do something different.

Great business ideas are all around you. Just open your mind to possibilities and you’re bound to find a Big Winning Idea.

BUSINESS CREATION PROCESS

You don’t know what it takes to create/build a successful business?

Take note once you take the plunge to ditch your day job and become a business owner, you will face real challenges. To set the foundation of success for your business, follow these steps below to business creation; to start, run and own a business.

1. Carry Out Research

Though you have identified your business idea, it is fundamental you balance it with reality. This will be done via research to find out whether your idea;

• Solves a problem
• Fulfill a need
• Offer something of value the market needs

For your idea or business to be successful, it has to have any of the above features. In order to know whether it does fulfill it, you will have to carry out research on through focus groups, trial and error and will also have to run it through a validation process.

2. Make a Business Plan

This is the blueprint that will guide you and your business from start-up through establishment phase and eventually growth stage. It is important and a must have for every business. There exist different types of business plan;

• Traditional business plan; this is a must have if you intend to seek financial assistance or investors. This plan is usually long, thorough and has common sectors which banks/investors look in order to validate your business and grant you support.
• A simple one-page business plan; if you don’t seek financial assistance. This clarifies what you hope to achieve and how you plan to do it.

The business plan is a guide to you, your business and your investors so you must have it.

3. Plan Your Finance

Starting a small business doesn’t require a huge sum of money but will require some initial investment to cover ongoing expenses before the business starts making profit. You’ll need to estimate the one-time startup cost of your business which may include; legal fees, market research, inventory, rents, marketing and adverts, employee salaries, your own salary, supplies, etc…… These are some of the initial spending you’ll need to cover while setting up the business. However if your business is a sole proprietorship, you’ll need as little capital as possible to your business off ground and start making money.

4. Choose a Business Structure

The business you intend to create can be a partnership, sole proprietorship, a corporation or a limited liability company [LLC]. Note that the business entity you choose will impact your business name, your liability, business location and your taxes. Nevertheless, you may choose an initial business structure and then reevaluate and change the structure as your business grows and needs change.

5. Pick and Register Your Business Name

Your business name plays a very important role in every aspect of your business. So, you’ll want it to be good. Make sure to think through all potential implications as you explore options. Once you choose your business name, verify if it’s currently in use and then register it.

6. Get Licenses and Permits

Paper work is a part of the process when you start your own business. There exist a variety of business licenses and permits that may apply to your form of business. You’ll have to research to know what type of license and permit apply to your business during the startup process depending on the location and other factors.

7. Choose Your Accounting System

An accounting system is very important for small businesses in order to create and manage your budget, set your rates and prices, conduct business with others and file your taxes. If you decide to start the business alone, make sure to consider these questions because they are vital to the success of your business no matter how small it might be.

8. Set-up Your Business Location

Your business location is ideal for the operation of the business. For your location, you may choose to have a home office, private office, shared office or a retail outlet. You will need to think about equipment and overall setup of the location thus, make sure the location you choose works for the type of business you’ll be investing on.

9. Get Your Team Ready

You’ll need to hire employees and make sure to outline the positions and job responsibilities for each position if you think of opening a corporation, a LLC, or a partnership. However, if you want to be a solopreneur, you may not need employees but will need your own support team.

10. Promote Your Business

Once your business is setup, launched and running, you’ll need to attract customers and new customers. This can be done through advertising and, the advertising could be traditional or digital or both. With traditional advertising of your business, which advertisement through the use of; billboards, events, radio, TV, caravan. Meanwhile, digital campaign is advertisement using all the mediums of communication in the internet such as;

• Social media advertisement
• Email advertisement
• Display and video advertisement
• Search engine
• Pay-per click

This form of digital advertising will permit build and manage good communication and customer relationship with your clients/customers in the long run.

Once you complete the steps and your business is setup and running, keep in mind that;

Success doesn’t happen overnight but through consistent work on the business.

Therefore, using your business plan and continuous work with a team to improve your business standard, you increase your chances of success and long term business survival.

The post Do you want to be a business owner? appeared first on Admeup Digital Academy.